Le pont Stanley

Le pont Stanley a un peu plus de 20 ans. En raison de son architecture, il est déjà l’une des attractions d’Alexandrie. Il a d’ailleurs séduit Julia, Brésilienne, qui rêvait de voir l’Égypte depuis longtemps.
Le pont Stanley a un peu plus de 20 ans. En raison de son architecture, il est déjà l’une des attractions d’Alexandrie. Il a d’ailleurs séduit Julia, Brésilienne, qui rêvait de voir l’Égypte depuis longtemps.
Alors que je viens tout juste de valider les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite à lire et même à commenter, je vous propose cette semaine de faire vivre cette toile de l’artiste Ley Mboranwe, originaire du Congo et installé en Afrique du Sud.
Comme le veut l’habitude, aucun texte ne sera validé avant qu’une autre scène ne vous soit proposée. Vous avez donc une semaine devant vous pour donner vie en vos mots à cette lectrice, qui semble blen songeuse. Est-ce le livre qu’elle a posé à côté d’elle ou la rose qu’elle tient à la main qui l’a mise dans cet état?
C’est ce que nous sautons dans sept jours.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Pour sourire, tout simplement. Une photo signée Michel Vial. Une carte postale envoyée par mon amie Sofie.
Il y a des thèmes dont je ne me lasserai jamais. Les machines à écrire en font patie. Vous vous en doutiez sûrement.
Les pensées s’élèvent et s’apaisent toujours comme des ondulations à la surface de l’eau. Vous devez regarder la masse d’eau, et pas seulement les ondulations. (Sathya Sai Baba)
*illustration de Chia-Chi Yu
J’ai un gros faible pour le travail de Romain de Tirtoff dit Erté. Je ne pouvais donc qu’aimer cette gouache datant de 1927, qui a servi de couverture à un numéro du Harper’s Bazaar, et qui fait partie de la collection du Metropolitan Museum.
Ils sont tellement nombreux, les endroits à découvrir qu’il n’est pas venu le jour où je cesserai de m’émerveiller lorsque j’ouvre ma boîte aux lettres.
La carte postale du jour va nous transporter à Red Deer, en Alberta, afin de faire le tour de ses fantômes de bronze. Une promenade bien tentante, non?
Grâce à une carte postale, découvrir les maisons de l’artiste Francisco Fonseca. Bonheur du Postcrossing. Et pour vous aussi si vous vous aventurez chez lui.
Quand on n’a pas souffert, on ne sait rien encore. (Marceline Desbordes-Valmore)
*toile de Robert Hope
Lorsque mon amie Anne a visité son fils aîné à Grenoble il y a quelques semaines, elle a déniché pour moi cette carte postale que j’aime vraiment beaucoup. Il y a quelque chose de reposant dans cette scène où l’écriture prend toute la place. Pas d’écran, pas de clavier, pas de souris. Juste de quoi écrire à la main. Une photo signée Marie Dorigny, que je découvre, emballée, grâce à cette carte postale.