Un dimanche avec Olivier Adam 10

La vie abime les vivants et personne, jamais, ne recolle les morceaux, ni ne les ramasse. (Olivier Adam)
*toile de David Woodlock
La vie abime les vivants et personne, jamais, ne recolle les morceaux, ni ne les ramasse. (Olivier Adam)
*toile de David Woodlock
On croit toujours que les lieux gardent la trace de notre passage, la mémoire de nos baisers, de nos mots, mais c’est faux, les lieux n’ont pas de souvenirs, les lieux sont morts et nous les habitons. Quand on ferme les yeux, ils n’existent plus. (Olivier Adam)
*toile d’Alfred Walter Bayes
Ce qui reste gravé, c’est la tendresse. Une sensation presque physique. (Olivier Adam)
*toile de Sharyn Bursic
Je me dis parfois que le passé est une fiction, qu’on peut en faire table rase, qu’on peut bâtir sur des ruines et vivre sans fondations. Il m’arrive aussi de penser le contraire. (Olivier Adam)
*toile de Paul Signac
Ça m’étonnait toujours cette capacité qu’ont les enfants à oublier, redonner sa chance à qui ne la mérite pas. (Olivier Adam)
*toile de Silvia Szlapka
Je voudrais tellement que la vie ressemble à une nuit d’été. (Olivier Adam)
*toile d’Edward Francis Wells
Cette illustration signée Yvonne Hoppe-Engbring m’a tellement plu que j’ai choisi de vous l’offrir pour que vous vous amusiez à la raconter en vos mots.
Rien ne presse, car aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, comme le veut l’habitude. Vous avez donc sept jours devant vous pour écrire quelques lignes. Commencez par lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier et laissez-vous surprendre.
Et surtout, d’ici là, profitez du beau temps, malgré la canicule. L’été est si court!
Infiniment nous cherchons un abri. Un lieu où le vent siffle moins fort. Un endroit où aller. Et cet abri est un visage, et ce visage nous suffit. (Olivier Adam)
*toile de Laura Gulshani
Combien de personnes successives, contradictoires, opposées, inconciliables abritons-nous en nous-même? (Olivier Adam)
*toile de Sue Gilkey
C’est un long apprentissage parfois que de savoir rejoindre enfin la vie qui nous va. Qui nous attend. (Olivier Adam)
*toile de George Hartley