Un dimanche avec Truman Capote 2
Ce qui nous arrive sur terre se perd dans l’infini rayonnement de l’éternité. (Truman Capote)
*toile de Becky Porter
Ce qui nous arrive sur terre se perd dans l’infini rayonnement de l’éternité. (Truman Capote)
*toile de Becky Porter
Le 25 août 1984, s’éteignait Truman Capote, l’auteur de Petit déjeuner chez Tiffany – qui fut par la suite adapté pour le cinéma dans un film mettant en vedette Audrey Hepburn – et du polar De sang-froid. Bonne raison pour demander à quelques lectrices, notamment celle peinte par Fielding Archer, de partager aujourd’hui avec nous quelques citations de cet auteur incontournable, qui a choisi celle-ci : Plus on est sensible, plus on est certain de se faire du mal, de garder des cicatrices.
Sarah, une jeune Lyonnaise qui a passé cinq mois à Montréal en 2016 et que j’ai connue grâce au Postcrossing, avons gardé contact. Nous nous envoyons donc des cartes postale de temps à autre. C’est ainsi qu’elle m’a fait découvrir le village médiéval de La Couvertoirade, dans l’Aveyron, où l’ont emmenée ses grands-parents. Belle découverte pour elle comme pour moi.
Quelle magnifique vue de Coumeenoole, dans la péninsule de Dingle, comté de Kerry, en Irlande, qu’a choisie mon amie John. Les tempêtes m’ont toujours fascinée!
Demander que quelqu’un retienne tout ce qu’il a lu, c’est demander qu’il conserve en lui tout ce qu’il a pu manger. (Arthur Schopenhauer)
*toile de Berndt Godenhjelm
Qu’il est agréable de s’instruire par l’entremise des cartes postales! Anne Marie a visé juste! Je me devais de partager ces bijoux avec vous!
Le théâtre, c’est le pouvoir de transformer les gens. (Michel Serrault)
*toile de Misha Pivovarov
Ce qu’il est agréable de trouver des cartes du monde entier dans sa boîte aux lettres! Notamment quand elles ont été envoyées par des amis en vacances. Comme celle-ci, envoyée de Riga par Silvia, qui est tombée sous le charme des portes art nouveau. Et pour cause, elles sont de toute beauté!
Quel est donc l’homme à notre époque qui pourrait vivre sans féerie, sans un peu de rêve? (Georges Méliès)
*toile de Gyula Szabo
Bibasse, pitaya et zatte demeurent à découvrir… Mais je me demande si ces fruits peuvent se déguster à Montréal et pas seulement à l’île de la Réunion, d’où Marion m’a envoyé cette carte lors de ses récentes vacances. À suivre.