En la nuit 8
L’envol
Sous la paroi mince,
les tempes subissent des tremblements
à perdre le langage,
à se survivre par fragments
d’un rose friable,
tels les signes d’un haut lieu roman.
Mais il suffirait de peu pour que de l’air
creuse les jours,
de peu pour qu’on s’élance
en oubliant son corps.
Fernand Ouellette, En la nuit, la mer
*choix de la lectrice de Wlastimil Hofman