Les quatrains 4
Tous les matins la rosée emperle les tulipes,
Les violettes inclinent leurs têtes, dans le jardin;
En vérité rien ne me ravit comme le bouton de rose,
Qui semble ramasser autour de lui, sa tunique soyeuse.
Omar Khayyâm, Quatrains
*choix de la lectrice du peintre Herbert Muckenschnabl