Les quatrains 3
Ne laisse aucune ombre de regret t’assombrir,
Aucune peine absurde obscurcir tes jours.
Ne renonce jamais aux chants d’amour, aux prairies, aux baisers,
Jusqu’à ce que ton argile se fonde dans une plus ancienne.
Omar Khayyâm, Quatrains
*choix de la lectrice de Thomas Edwin Mostyn