Les vers de Rita 2
Sur la surface de la mer en détresse
L’amour est un éternel recommencement
L’amour est l’intarissable jeunesse
Qui nourrit l’esprit des gens.
Toile tissée par la solitude
Voile formée par les pleurs en granite
D’une femme en quête de plénitude
Devant un soleil qui tourne en orbite.
Qu’en est-il de la douce chaleur?
Jetée au fond de l’abîme
Attisant la flamme du cœur
Ranime-toi passion sublime.
Ô petite lumière si chère à mon cœur
Dans l’infinité du temps
Je découvre le prix du bonheur
À travers l’immensité des sentiments.
Rita Mestokosho, Née de la pluie et de la terre
*choix de la lectrice de Jave (dont toute trace a disparu)