On peut changer de masque, mais celui qui est caché derrière reste toujours le même. (Brent Weeks)
*toile de Félix Bracquemond
On peut changer de masque, mais celui qui est caché derrière reste toujours le même. (Brent Weeks)
*toile de Félix Bracquemond
Une étoile tombe
Entre les cils
Et sur ma joue
Tu en possèdes le cœur
Parfois le nom
Martine Audet, Des voix stridentes ou rompues
*choix de la lectrice de Ricardo Celso (dont toute trace a disparu)
Apprendre à réfléchir, ça revient à donner des lunettes à un myope. (Marie-Sabine Roger)
*dessin de Mary Cassatt
Bien des hommes pourraient voir, s’ils enlevaient leurs lunettes. (Friedrich Hebbel)
*toile de Gerard Boersma
Le plus souvent, on cherche le bonheur comme on cherche ses lunettes, quand on les a sur le nez. (André Maurois)
*toile de Jean Blackmer
Nous percevons toujours ce qui est nouveau chaussé de nos lunettes du passé et notre vue s’y déforme. (Jacques Séguéla)
*toile de Brigitte Bergeret
En voyage vous perdez vos convictions aussi facilement que vos lunettes, mais il est plus difficile de les remplacer. (Aldous Huxley)
*toile de Marcin Baranski
En ce dernier dimanche d’avril, j’ai choisi de vous offrir cette scène de l’illustrateur Adolfo Serra, qui n’est pas sans rappeler Fenêtre sur cour d’Alfred Hitchcock, afin que vous nous la racontiez en vos mots. Comme vous le faites dimanche après dimanche depuis plus de huit ans. Pour le plaisir d’écrire et pour partager vos mots. Tout simplement.
Et comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant sept jours, ce qui vous donne amplement le temps de mûrir ce qui vous trotte assurément déjà dans la tête et de lire les textes déposés sur la toile de dimanche dernier.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!