La totalité du paysage 1
Notre rêve
Nos sueurs se renouvellent, comme nos peurs
éternelles de se perdre de vue, longtemps
les yeux vides, nos vies finies, notre rêve
n’est plus dans le même sens, n’aura plus
de tête ni d’oreiller, de chaleur.
L’immobilité, l’ombre, puis
Martin Thibault, La totalité du paysage
*choix de la lectrice de Maurice Asselin