L’amour même 8
Dans l’eau des yeux
Visibles sont les mots,
Reflets d’un rêve
Ancien vers toi.
Ton visage,
Le chemin du poème.
Jean Royer, L’amour même
*choix de la lectrice de Paco Navarro
Dans l’eau des yeux
Visibles sont les mots,
Reflets d’un rêve
Ancien vers toi.
Ton visage,
Le chemin du poème.
Jean Royer, L’amour même
*choix de la lectrice de Paco Navarro
À Vienne? Oui, le temps de l’album Salon viennois de Musica Camerata Montréal, ensemble de musique de chambre créé en 1970, la même année où le violoniste Luis Grinhauz, à qui on doit les arrangements de ce CD, s’est joint à l’Orchestre symphonique de Montréal. Le temps d’un pot-pourri sur des thèmes de l’opérette Comtesse Maritza du compositeur d’origine autrichienne Imre Kalman.
À l’heure où septembre vient de nous ouvrir les bras, à l’heure où Montréal fait face à une nouvelle canicule après un des étés les plus chauds que la ville ait connus depuis longtemps, j’ai eu envie d’offrir au lecteur du jour un peu de la fraîcheur que seuls certains parcs semblent nous offrir si on veut tout de même profiter de la saison sans s’enfermer à l’air climatisé.
C’est donc le lecteur de l’artiste Gustave Caillebotte qui va nous tenir compagnie jusqu’à dimanche prochain, le temps que vous l’examiniez de près afin de nous raconter son histoire — ou la vôtre à travers lui — en vos mots.
Suite dans sept jours. D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à ceux et celles qui les lisent.