Les vers de Louise Labé 9
Le regard de la lectrice du peintre mexicain Jose Moreno Villa est resté longtemps fixé là-bas au loin, sur la ligne d’horizon.
Les vers de Louise Labé l’avaient plongée dans une réflexion rêveuse. Ces vers, surtout :
Or bien, puis qu »ainsi le voulez,
Soit fait, sans y contrevenir :
Mais si au rang des désolés
Il me faut par ce point venir,
Je vous supplie vous souvenir
De regarder plus amplement,
Que tel en son dire ample ment*,
Comme contre quoi rempli d’ire,
Et qu’il ne dit rien simplement,
Que je n,entende qu’il veut dire.