Je le connais tellement
Peut-être se lèvera-t-il au cœur de la nuit. Parce qu’épuisé de tourner d’un côté puis de l’autre. Parce que fatigué de ruminer toujours les mêmes questions. Parce que les blessures, les déceptions, les doutes, tous ces empêche-bonheur. Peut-être ouvrira-t-il un magazine ou un journal pour chasser de son esprit toutes ces idées.
Je connais tellement le lecteur d’Alex White. Je le connais tellement que je sais qu’il écoutera peut-être de la musique. Je le connais tellement que je sais que ce n’est pas un lecteur, mais deux lecteurs qui se cachent dans la peau de celui-ci.