La chaise inoccupée
Et puis, un matin on se lève. On sait que bientôt la chaise inoccupée ne le sera plus. On sait que quelqu’un prendra place. On sait que ça ne tardera plus, parce qu’on a le ventre qui se noue et les yeux qui brillent. Le reste, on peut facilement le deviner. Même de dos, on ne peut que voir le sourire de la lectrice de Jan Rauchwerger.