Il n’y a pas de jours sans mots doux
Il n’y a pas de jours sans mots doux. Pas de jours de silence. Pas de jour de lassitude. Il est là, toujours là. Même dans ses absences, il est présent. Par un mot glissé sous l’oreiller qu’elle a trouvé à son réveil. Tu es si belle dans le sommeil que je n’ai pas osé le moindre baiser sur ta peau, pour ne pas briser le bonheur que tu me donnes à te regarder et à me laisser t’aimer.
Il n’y pas de jours sans mots doux. Et la lectrice de Stanislaw Szcepanski sourit. Elle a glissé dans la poche de celui qu’elle aime presque les mêmes mots quand elle n’a pas osé le réveiller au cœur de la nuit.