Lali

25 juillet 2007

Plus que 21 jours

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 8:04

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Pourquoi faut-il que je m’enferme dans un bureau alors que le soleil invite à aller à la plage ? Pourquoi faut-il que je ne sois pas dans une toile de Soraya French ?

Ah oui, je me souviens. Les vacances, c’est dans 21 jours.

Il y aura du rose

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 7:15

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Il y a des matins où le ciel est si rose quand le soleil se lève que la journée sera rose. Ou que je ferai tout pour qu’elle le soit. T-shirt rose ou foulard rose, je ne sais pas encore. Mais il y aura du rose. Comme dans les toiles de Lilia Estrada.

Pour ne pas le quitter

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 6:55

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Elle a arrosé, taillé quelques mauvaises herbes envahissantes, humé chacune des fleurs. Puis, elle a regardé le jardin, ce jardin luxuriant où tout pousse, avec émerveillement. Et pour ne pas le quitter, la lectrice de Lucy Willis s’est assise avec un livre.

Pour ne pas être loin quand de nouveaux boutons s’ouvriront.

Sous les arbres

Filed under: Couleurs et textures,Images indélébiles — Lali @ 6:39

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Ça me vient de l’enfance, de cette époque lointaine où un saule occupait presque toute la superficie de terrain. Un petit arbre de rien du tout devenu rapidement un saule magnifique, majestueux, qu’il fallait sans cesse arroser et dont les racines avaient fini pas s’étendre à un point tel qu’il a fallu le couper, puisqu’elles étaient en train de soulever la maison et de sortir de l’asphalte à force de chercher une issue entre les tuyaux.

Les saules pleureurs sont faits pour le bord de l’eau. Plantés ailleurs, ils cherchent une source où s’abreuver. Je l’ai compris le jour où son feuillage et l’ombre qu’il procurait à mes séances de lecture en sa compagnie ont disparu de mon quotidien. Et que je lise sous le marronnier de la cour de mes parents ou sous les arbres d’un parc, comme la lectrice de Michael Koch, ce sera toujours le saule de mon enfance qui m’aura fait aimer les arbres et leur côté protecteur.

Nénuphar belge

Filed under: Vos traces — Lali @ 5:57

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J’irai au hasard dans ma réserve de photos, comme je vais au hasard dans ma galerie de toiles. Parce qu’au moment où je choisis l’une ou l’autre, c’est que celle-là s’impose à moi. Sans raison ou pour de multiples raisons.

Le nénuphar belge de Phil se devait d’être ma façon, en entamant ma journée, de lui dire que je ne suis pas loin. Que l’amitié se fout bien des kilomètres. Et que novembre, c’est tout près, pour celui qui reviendra dans ce pays qu’il aime tant et qui est le mien. Vraiment tout près.